Pour dessiner le syndrome de la page blanche – appelé également « blocage de l’écrivain » – l’idée que j’ai retenue était celle d’un écrivain, vu de face, assis à son bureau, muni d’un stylo, et qui peine à remplir son papier blanc.
Le visage du personnage est censé représenter l’exaspération, l’irritation, l’ennui. Ce blocage est une contrainte, c’est l’antithèse de l’inspiration et de la créativité. Ce syndrome ne révèle pas un manque d’idées mais plutôt un blocage psychologique.