Ce dimanche dernier j’étais au cœur de Paris et un peu dans le Val-de-Marne (94), je suis revenu à Marseille le lendemain. Même si ma présence avait des allures de touriste nippon mon passage n’avait rien de touristique… Mon Canon en poche (simple habitude), Crêpe Nutella en main (simple habitude aussi), je scrutais le paysage urbain de Paris, observateur que je suis ! J’ai publié les photos sur Flickr.
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« A Paris le ciel est toujours gris et les parisiens sont froids ! », quelle malheureuse phrase, assassine, injuste dirais-je. Comme le refrain d’une chanson, elle revient souvent dans mes oreilles et se dissimule sans cesse au son des cigales. Paris, je la trouve vivante, rayonnante et colorée, pleine d’entrain, charmante, quelque fois excentrique, quelque fois même extravertie ; Paris est aussi mélancolique, tournée vers le passé, monumentale ! Paris est aussi introvertie, sans maquillage mais d’une cruelle beauté, le regard fixe plongé vers le sol en proie à la solitude avec pour seule amie une bouteille, un chien ou un instrument de musique.
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